La cathédrale patriarcale assyrienne de la Vierge Marie de Bagdad
La cathédrale-patriarcale de la Vierge Marie de l’Ancienne Église de l’Orient se situe à Bagdad, dans le quartier Camp Sarah- Hay al-Riyad du district de Karrada, à 33°18’18.15″N 44°27’10.81″E et 38 mètres d’altitude, sur la rive orientale du Tigre.
Conçue par l’ingénieur et designer Baba Khochaba, la cathédrale patriarcale de la Vierge Marie a été construite en 1984. Ce qui la distingue c’est qu’elle située au premier étage d’un édifice en dessous duquel se trouvent les chambres des prêtres, les salles des activités religieuses et sociales et les bureaux administratifs. Le domaine religieux sur lequel se trouve la cathédrale de la Vierge-Marie comprend aussi le siège patriarcal où réside Mar Addai II, Catholicos (patriarche) de l’Ancienne Église Apostolique Assyrienne de l’Orient depuis 1970.
La fréquentation de cette cathédrale a été durement touchée par l’exil des Chrétiens de Bagdad depuis l’effondrement du régime de Saddam Hussein. Jusqu’en 2003, 1200 familles fréquentaient la cathédrale-patriarcale contre un maximum de 200 familles en 2018.
Photo : La cathédrale patriarcale de la Vierge Marie de l’Ancienne Église de l’Orient à Bagdad. Avril 2018 © Laith Basil Nalbandian / MESOPOTAMIA
Localisation
La cathédrale-patriarcale de la Vierge Marie de l’Ancienne Église de l’Orient se situe à Bagdad, dans le quartier Camp Sarah- Hay al-Riyad du district de Karrada, à 33°18’18.15″N 44°27’10.81″E et 38 mètres d’altitude, sur la rive orientale du Tigre.
Les noms de l’Église de l’Orient
L’Église apostolique assyrienne de l’Orient est connue sous plusieurs appellations. Retenons « Église de l’Orient » par opposition à l’Église d’Occident, « Église d’Assyrie » et « Église de Mésopotamie » par identification de ses membres avec ces grandes civilisations de l’Antiquité, « Église de Perse » sous l’Empire duquel ces chrétiens orientaux ont structuré leur espace géopolitique et donné tant de martyrs, « Église nestorienne » par consentement avec la christologie du patriarche de Constantinople Nestorius déposé au Concile d’Éphèse en 431.
La dénomination officielle « Église apostolique assyrienne de l’Orient » est plus complète. Fondée et légitimée par l’apôtre Thomas, elle revendique ses sources antiques et souligne son espace missionnaire.
L’appellation « Ancienne Église apostolique assyrienne de l’Orient » est la conséquence d’une division en 1964, liée au choix du calendrier de référence, grégorien ou julien. Les fidèles du calendrier julien ont constitué l’Ancienne Église apostolique assyrienne de l’Orient.
Sources de l’Église de l’Orient
La tradition attribue l’évangélisation de la Mésopotamie et l’origine de l’Église apostolique assyrienne de l’Orient à l’apôtre Thomas et aux disciples Addaï (certains voient en Addaï l’apôtre Thaddée autrement nommé Jude) et Mari. On dit aussi que Thomas « se serait arrêté à Séleucie-Ctésiphon au cours de son voyage vers l’Inde[1]» après être passé par Mossoul.
C’est probablement auprès des communautés juives locales qu’aurait été prêchée la nouvelle religion : « Les milieux touchés par l’évangélisation ne sont pas connus, mais il est raisonnable de penser que les premiers convertis appartiennent à la population juive alors très importante dans toute la Mésopotamie, et même au delà du Tigre, depuis la déportation de Babylone, sous Nabuchodonosor. Il est probable que les premiers efforts de conversion aient porté sur cette communauté, comme cela s’était déjà produit dans toutes les villes de l’Empire romain[2]. »
C’est surtout à partir du IVe siècle à Séleucie-Ctésiphon que se structura l’Église apostolique assyrienne de l’Orient et que presque simultanément le roi de Perse Shapur II inaugura une ère de persécutions antichrétiennes, dont les nombreux martyrs sont vénérés de siècles en siècles.
Au Ve siècle, le conflit entre l’Empire romain et l’Empire perse, auquel s’ajoutèrent les querelles christologiques entre les écoles théologiques accentuèrent le fossé entre les Églises d’Occident et d’Orient. Après avoir rejeté les conclusions du concile d’Ephèse (431) et accueilli le patriarche Nestorius, l’Église de l’Orient confirmait sa rupture avec Rome et Constantinople et plus que tout pouvait affirmer définitivement son caractère autocéphale. C’est le deuxième acte de naissance de l’Église de l’Orient, après sa fondation par Saint Thomas.
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[1] Id. p.21
[2] In Histoire de l’Église de l’Orient, Raymond le Coz, Éditions du Cerf, 1995, p.22
Épanouissement et rayonnement monastique de l’Église de l’Orient
Au long des siècles, les hauts-plateaux et les massifs montagneux de la Mésopotamie (sud-est de la Turquie et Kurdistan d’Irak), autrefois difficiles d’accès, furent tout à la fois le lieu d’épanouissement et de refuge de l’Église de l’Orient. La province de Margā (nord de l’Irak, région de Aqra) connut en particulier de très grands couvents de l’Église de l’Orient, comme le monastère Rabban Bar ‘Idtā, mais aussi le grand monastère Mar Ya’qōb de Bet ‘Ābe (Beth’ Abhé)[1], dont l’illustre moine et évêque du IXe siècle Thomas de Margā écrivit l’histoire et dont on sait qu’il fut édifié au plus tard à la fin du VIe siècle. On dispose d’ailleurs grâce au Livre des Supérieurs de Thomas de Margā d’une riche documentation historique sur l’Église de l’Orient entre les VIe et IXe siècles[2]. Au IXe siècle, il y avait plus de vingt monastères dans la province de Margā. Au début du XVIIe siècle, quatre monastères étaient mentionnés dans la région de Aqra où l’on trouvait une soixante de villages chrétiens de l’Église de l’Orient.
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[1] Ce monastère était à côté de Aqra. À la fin du XIXe siècle, le géographe Vital Cuinet n’en vit que quelques ruines. Voir « La Turquie d’Asie. Géographie administrative. Statistique descriptive et raisonnée de chaque province de l’Asie-mineure », Tome deuxième. Ernest Leroux éditeur, Paris, 1891, p.844-845.
[2] In « The ecclesiastical organisation of the church of the east, 1318 – 1913 », David Wilmshurst, Éditions Peeeters (Louvain), 2000, p.155
Fragments d’histoire : les Assyriens du XVIe au XXIe siècle
Au XVIe siècle le schisme qui se produisit au sein de l’Église apostolique assyrienne de l’Orient et qui donna naissance à l’Église chaldéenne (unie à Rome) engendra un très grand bouleversement. La majorité des chrétiens de l’Église apostolique assyrienne de l’Orient passa progressivement à l’Église chaldéenne (catholique). Les conséquences de ce schisme furent telles que la grande Église de l’Orient des premiers siècles devint « à la fin du Moyen Age, une simple Église-nation »[1], isolée dans les régions frontalières montagneuses des Empires perse (nord-ouest de l’Iran) et ottoman (extrême sud-est de la Turquie et nord de l’Irak).
Sous domination ottomane, tout au long du XIXe siècle, les tribus kurdes multiplièrent les pillages de villages chrétiens, les tueries et les enlèvements. En 1843-1847 les massacres commis furent catastrophiques : « L’émir kurde du Bohtan Béder-Khan fit un carnage parmi les Assyro-Chaldéens de la province de Van. Plus de 10 000 hommes y ont été massacrés, des milliers de femmes et de jeunes filles enlevées et faites musulmanes par force, tous les biens des Assyro-Chaldéens et leurs villages incendiés[2] ». En 1894-1896 les tueries contre les Chrétiens (Arméniens et Assyro-chaldéo-syriaques) changèrent de nature. Ils furent organisés au plus haut niveau de l’Empire par le sultan Abdul Hamid II, dit le Sultan Rouge, qui lança ses troupes hamidiyé à l’assaut des localités chrétiennes. Ces massacres génocidaires fragilisèrent à l’extrême les communautés chrétiennes.
Lorsque la révolution nationaliste Jeune-turque renversa le Sultan en 1908, un fol espoir de renouveau gagna les Chrétiens de l’Empire. Ce n’était qu’une illusion. Dès 1909, les massacres d’Adana constituèrent le prélude d’une destruction systématique et planifiée des communautés chrétiennes commise entre 1915 et 1917 sous le couvert de la première guerre mondiale. Dès le début de la guerre, à l’automne 1914, les troupes turco- kurdes pénétrèrent en Perse et y massacrèrent les communautés assyriennes et chaldéennes dans le district d’Ourmiah. En avril 1915, lorsque commença le génocide des Arméniens dans les provinces orientales de l’Empire ottoman, cent cinquante mille Assyriens survivaient regroupés dans les montagnes du Hakkari (extrême sud-est de la Turquie) du vilayet de Van autour du siège patriarcal de Kotchanès[3] (depuis 1662) où se trouvait le catholicos Mar Schemoun « issu de la famille du même nom, garante des traditions et du népotisme en son sein depuis 1450[4] ». Les Assyriens du Hakkari résistèrent farouchement aux assaillants turcs et kurdes, avant d’être contraints à un terrible exode vers la Perse : « Ils traversent de hautes montagnes vers Salamas en Iran les 7-8 octobre 1915. Les survivants 50 000 sur 100 000 arrivent exténués.[5] Ils sont accueillis par l’armée russe et leurs compatriotes (…) Mais la population locale est hostile à leur venue et leurs compatriotes sur place sont ruinés ». Entre 1915 et 1917, les massacres se poursuivirent et s’intensifièrent contre les Arméniens, les Syriaques, les Chaldéens et les Assyriens dans toutes les villes et tous les villages des provinces ottomanes de Van, Bitlis, Mamuretulaziz, Erzeroum, Diyabakir et Alep. Aux tueries abominables s’ajouta l’exode sur les routes de la mort vers les déserts de Syrie et de Mésopotamie. Au cours de l’été 1918, abandonnés de leur ultime protecteur russe, « quelque quatre-vingt mille Assyro-chaldéens, avec leur bétail et leurs biens[6] » prirent une nouvelle fois la route de l’exode depuis Ourmiah vers Hamadan en Perse, avant d’arriver en Mésopotamie à Bakouba (50 km au nord-est de Bagdad). La moitié des déportés périt au court de ce nouveau calvaire.
Dans cette Mésopotamie sous mandat britannique, les Assyriens constituèrent des unités combattantes, les Assyrian Levies, qui participèrent au maintien de l’ordre espérant ainsi d’obtenir des compensations politiques favorables pour la nation assyro-chaldéenne. « Au lieu d’un État, le traité mort-né de Sèvres du 10 août 1920, signé entre la Turquie et les puissances alliées et associées, n’accorde aux Assyro-chaldéens que des garanties et une protection dans le cadre d’un futur Kurdistan autonome. Le traité resta lettre morte ».[7]Ne pouvant compter que sur eux-mêmes, 6500 Assyriens commandés par le général Agha Petros tentèrent une reconquête du Hakkari en octobre 1920 qui se mua en une expédition punitive sans issue. En 1923, le traité de Lausanne mit un terme aux illusions autonomistes des Assyriens et des Arméniens, interdisant simultanément toute perspective de retour. Lorsque arriva la fin du mandat britannique et l’indépendance de l’Irak le 3 octobre 1932, les autorités irakiennes voulurent disperser les Assyro-chaldéens. Les Assyriens refusèrent et entrèrent en résistance. Un millier d’entre eux prit les armes et se rendit en Syrie sous mandat français en juillet 1933, dans l’espoir de négocier une installation collective et durable de leur communauté. Revenant début août en Irak par le village de Feshkhabour pour retourner chercher leurs familles, les combattants assyriens furent mitraillés par les troupes du roi Fayçal mais parvinrent à mettre en déroute les forces irakiennes. Après un tel affront, les troupes irakiennes se vengèrent contre les villageois assyro-chaldéens de Semmel, tout près de Dehok. Le massacre commença le 8 août 1933 avec la participation de tribus kurdes. Trois mille hommes, femmes et enfants y furent exterminés jusqu’au 11 août. « Les officiers et soldats arabes auteurs de ces crimes obtinrent une année d’avancement et reçurent un accueil triomphal à Mossoul et à Bagdad ; leur chef, le colonel kurde Baker Sedqi, fut promu général.»[8]
Le reste du XXe siècle ne fut guère plus heureux pour les Assyro-Chaldéens. Pendant la seconde guerre mondiale, de nouvelles unités combattantes assyriennes contribuèrent à l’effort de guerre britannique contre un gouvernement irakien soutenu par l’Allemagne nazie. Ils n’obtinrent aucune contrepartie diplomatique. Dès 1961 et jusqu’en 2003, les guerres civiles successives qui opposèrent les séparatistes kurdes au gouvernement de Bagdad affectèrent douloureusement les communautés chrétiennes assyro-chaldéennes du nord du pays : assassinats, racket, destructions patrimoniales, déplacement forcé de populations, arabisation forcée, gazage, (…). La fin du règne tyrannique de Saddam Hussein en 2003 ouvrit une ère de chaos islamiste et mafieux, au cours de laquelle de nombreux groupes criminels comme al Qaïda et daesh persécutèrent toutes les communautés chrétiennes. Contre toute attente, dans la montagne kurde, les Assyriens et autres Chrétiens d’Irak bénéficient d’un répit historique, grâce à la politique bienveillante du gouvernement régional kurde en faveur d’une réimplantation des communautés chrétiennes autochtones. L’Église apostolique assyrienne de l’Orient peut enfin penser l’avenir.
L’Église apostolique assyrienne de l’Orient connait un autre schisme depuis 1964. Il porta sur la question du calendrier de référence. La très grande majorité des Assyriens est passée au calendrier grégorien pour être en communion avec les chrétiens de la région. Ceux qui sont restés fidèles au calendrier julien ont formé l’Ancienne Église apostolique assyrienne de l’Orient. Cette séparation n’altère pas le sentiment d’appartenance à une seule et même Église.
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[1] In « Du génocide à la diaspora : les assyro-chaldéens au XXe siècle », Joseph Alichoran, Article publié par la revue Istina, 1994, N°4, Octobre-décembre, p.4
[2] Eugène Griselle in « Qui s’en souviendra ? 1915 :le génocide assyro-chaldéo-syriaque. », Joseph Yacoub, Les éditions du Cerf,, p.128
[3] De ce patriarcat, il ne restait en 1988 rien d’autre que la petite église patriarcale Mar Shallita, construite en 1689 et en mauvais état. Qu’en reste-t-il en 2018 ? Source Joseph Alichoran.
[4] In « Du génocide à la diaspora : les assyro-chaldéens au XXe siècle », Joseph Alichoran, Article publié par la revue Istina, 1994, N°4, Octobre-décembre, p.5
[5] In « Qui s’en souviendra ? 1915 :le génocide assyro-chaldéo-syriaque. », Joseph Yacoub, Les éditions du Cerf, p.149
[6] In « Du génocide à la diaspora : les assyro-chaldéens au XXe siècle », Joseph Alichoran, Article publié par la revue Istina, 1994, N°4, Octobre-décembre, p.22
[7] In « Du génocide à la diaspora : les assyro-chaldéens au XXe siècle », Joseph Alichoran, Article publié par la revue Istina, 1994, N°4, Octobre-décembre, p.24
[8] In « Du génocide à la diaspora : les assyro-chaldéens au XXe siècle », Joseph Alichoran, Article publié par la revue Istina, 1994, N°4, Octobre-décembre, p.29
Démographie assyrienne en Irak
À la fin du XIXe siècle et à la veille de la première guerre-mondiale, la nation assyrienne était évaluée à un million de personnes en Irak, Iran, Turquie. En 1957, ils étaient entre 750 000 et 1 million en Irak. Début 1970, la démographie avait chuté à 300 000. En 2017, ils étaient moins de 40 000. Cet effondrement démographique est la conséquence de toutes les catastrophes historiques qui se sont succédées.
Les principales zones de peuplement assyrien en Irak sont Dehok-Nouhadra avec 2000 familles en ville. Autour de Dehok-Nouhadra, dans les disctricts de Barwar, Semel, Zakho et Amadia, on trouve 1500 familles dispersées dans 55 villages. Au total la province de Dehok-Nouhadra compte près de 20 000 Assyriens[1].
4 grands monastères de l’Église apostolique assyrienne de l’Orient subsistent : Mar Aodischo de Déré, Mar Qayouma à Kani Massi Douré, Mar Gewarguis à Kani Massi Iyed et Mar Mouché à Kani Massi Tchélèk.
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[1] Source : Khoury Philippos, curé de l’église Mar Narsaï de Dehok-Nouhadra de l’Église apostolique assyrienne de l’Orient.
Histoire et actualité de la cathédrale-patriarcale
Conçue par l’ingénieur et designer Baba Khochaba, la cathédrale patriarcale de la Vierge Marie a été construite en 1984.
La fréquentation de cette cathédrale a été durement touchée par l’exil des Chrétiens de Bagdad depuis l’effondrement du régime de Saddam Hussein. Jusqu’en 2003, 1200 familles fréquentaient la cathédrale-patriarcale contre un maximum de 200 familles en 2018. En dépit de cet effondrement démographique, l’Église maintient de nombreuses activités éducatives, culturelles et sportives. Deux prêtres servent dans cette cathédrale : le curé Ezrya Warda Benyamine et le père Yokhana Mattie.
En plus de la cathédrale-patriarcale, l’Ancienne Église de l’Orient dispose à Bagdad d’une autre église, Mart Schmouni, dans le quartier de al-Dora, au sud de Bagdad.
Description de la cathédrale-patriarcale
Conçue dans le respect de la tradition architecturale de l’Église de l’Orient, ce qui distingue la cathédrale-patriarcale de la Vierge Marie c’est qu’elle située au deuxième étage.
Au premier étage en dessous de l’église, se trouvent les chambres des prêtres, les salles des activités religieuses et sociales et les bureaux administratifs.
La cathédrale-patriarcale est un espace à trois nefs. La très large nef centrale est séparée des bas-côtés par des arcs plein cintre surmontés de fenêtres. Conformément à la tradition assyrienne, on ne trouve dans l’église aucune icône ni ornement, à l’exception des lustres fixés au plafond qui contribuent à l’embellissement de l’espace sacré.
Le sol de la cathédrale est dallé. Les murs sont peints.
Le sanctuaire est séparé de la nef par une large porte royale à deux colonnes et rideaux à croix. Le design du sanctuaire bordé de stèles jusqu’au maître-autel à degrés traduit une recherche de modernité. Le chœur du sanctuaire est surmonté d’une voûte hémisphérique d’où descend un remarquable lustre.
Le domaine religieux sur lequel se trouve la cathédrale de la Vierge-Marie comprend aussi le siège patriarcal où réside Mar Addai II, Catholicos (patriarche) de l’Ancienne Église Apostolique Assyrienne de l’Orient depuis 1970. On trouve aussi dans le domaine religieux des salles de sport et de catéchisme, des salles de fêtes ainsi que deux maisons d’hôtes.
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